Un danger d’avalanche toujours à 4 et une neige qui n’arrête pas de tomber, nous sommes contraints d’opter pour un itinéraire des plus conservateur aujourd’hui. On n’a pas beaucoup de temps non plus, donc nous nous décidons pour une montée à la Foilleuse par la forêt. L’itinéraire est magnifique quand il est très enneigé, on va être gâtés !





La tête de course dicte un rythme soutenu et Florence remarque que « Sandrine souffle épais » ! Ces expressions vaudoises, on ne s’en lasse pas ! J’ai encore assez de souffle pour me marrer, ça va donc ! Finalement, c’est presque un peu court, et on est pas franchement contents de retrouver le monde des pistes. Enfin, c’est quand même confortable de ne pas se poser mille questions sur le manteau neigeux avant de se lancer dans la descente sur Morgins.
Le plus dur de la journée aura finalement été de trouver de la place pour 5 dans un bistro 🙂